Sourate 18 du Coran – La Caverne

 

Sourate 18 du Coran

 – La Caverne

Gloire à Dieu, le tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

 

Louanges à Celui qui a révélé à Son serviteur le Livre exempt d’ambiguïté,

Livre tout de rectitude afin de mettre les hommes en garde contre un châtiment terrible de Sa part

et d’annoncer aux croyants qui œuvrent pieusement qu’une grande récompense leur est destinée :

 - Un jardin où ils séjourneront à jamais.

 

Ne dis jamais d’une chose :

 - « Certes je ferai cela demain », sans rajouter :

  - « A moins que Dieu ne le veuille. »

 

 

Et remets-toi ton Seigneur en mémoire si tu viens à L’oublier et dis :

 - « Mon Seigneur va sans doute me guider vers quelque chose de plus probant que tout cela (aqraba min hadhâ rashadan).

 

 - « Dieu sait mieux que quiconque combien de temps ils y sont restés.

Il possède la clef de ce qui est celé (al-ghayb) dans les cieux et sur la terre ;

Qui donc entend ou voit mieux que Lui ? »

 

Psalmodie ce qui t’a été révélé du Livre de ton Seigneur,

tu ne trouveras aucun autre refuge en dehors de Lui.

 

Fais montre de patience en demeurant avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir par désir de Sa Face,

et ne détourne pas d’eux ton regard en vue de rechercher les beautés de ce monde.

 

 - « La Vérité vient de notre Seigneur ;

Que celui qui le veut croit

et que celui qui le veut soit un mécréant.

 

 - « As-tu renié Celui qui t’a créé de terre,

puis d’une goutte de sperme,

puis qui a fait de toi un homme harmonieux ?

Quant à moi,

Dieu est mon Seigneur

et je ne donnerai jamais à mon Seigneur le moindre associé !

 

Qu’il en soit fait selon la volonté de Dieu.

Il n’est de force que par Dieu ! »

 

Les richesses et les enfants constituent la parure de la vie de ce monde,

mais au regard du Seigneur les œuvres pieuses

dont les fruits demeurent à jamais sont plus méritoires

et davantage porteuses d’espérance.

 

 - « Si Dieu le veut, dit Mûssâ,

 tu me trouveras patient

et je ne désobéirai à aucun de tes commandements. »

 

 - « Vous ferons-Nous connaître ceux dont les œuvres ont le plus concouru à leur perte ?

Ce sont ceux dont les œuvres auront été vaines dans leur vie de ce monde alors qu’ils s’imaginaient œuvrer pour le mieux.

Ceux-là sont ceux qui auront nié les signes de leur Seigneur

et la possibilité de Le rencontrer …"

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